Autorisation échevinale donnée à un individu de clôturer la «place» contiguë à sa maison.
Li eskevin, à un jor ki passeis est, soufrirent à Asson Le Caisne à enclore le place ki est encontre se maison, outre l’aigue, devant le maison Anseau Le Pelerin, dusques à le volenté des eskevins.
En l’an XLIIIime, en mai.
ESPINAS (Georges), La vie urbaine de Douai au Moyen-âge, t. III, pièces justificatives. XIe-XIIIe siècles, n° 63, p. 48.